Comme pour me donner raison...

Publié le par revenonsenfrance

Tout en écrivant je précédent billet introductif, je suis tombé sur cet article de libération ( lien ).

Décidemment je crois que je n’aurai aucun mal à remplir ce blog…

 

Les journalistes du Figaro demandent un traitement «honnête» de l’actualité

 

 

Les journalistes du Figaro ont demandé jeudi, dans une motion au directeur de la rédaction Etienne Mougeotte, de veiller à ce que l’actualité soit rapportée de «manière complète et pluraliste», s’agissant des articles, mais aussi des titres du quotidien. «Le Figaro, journal d’opinion, n’est pas le bulletin d’un parti, d’un gouvernement ou d’un président de la République», selon la motion adoptée en assemblée générale. «Tout particulièrement en période électorale, (les journalistes) demandent au directeur de la rédaction de veiller à ce que les articles, mais aussi les titres et les manchettes rendent compte de manière complète et pluraliste de l’actualité - de manière “honnête” pour reprendre une expression d’Etienne Mougeotte, sans occulter tel ou tel ou tel sujet au motif qu’il pourrait embarrasser l’actuelle majorité», dit le texte. Les journalistes du Figaro, qui se déclarent «fiers du titre auquel ils collaborent, n’envisagent pas de postuler ailleurs pour se sentir “à l’aise” dans leur profession». «Le Figaro n’est pas là pour emmerder la droite» La motion fait allusion aux propos tenus par Etienne Mougeotte à l’automne dernier. Il avait alors dit que le journal n’était pas là pour «emmerder la droite» et que les journalistes qui n’étaient pas «à l’aise» pouvaient postuler à Libération. [Bienvenue, les gars ;-), ndlc] Interrogé sur la motion adoptée ce jeudi, M. Mougeotte a dit ne pas en avoir encore connaissance, mais en «avoir entendu parler». «La Société des rédacteurs qui vient de renouveler son bureau réaffirme ses principes et c’est très bien», a-t-il dit à l’AFP. Il s’est déclaré «tout à fait d’accord» avec l’idée que le journal ne soit pas le bulletin d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un président. La Société des rédacteurs a reconduit récemment à sa tête Stéphane Durand-Souffland, chroniqueur judiciaire et ancien président de l’Association de la Presse Judiciaire. (AFP)

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